Ben Calderon - Paradis perdu
текст песни

Paradis perdu.

Que de monde, que de vies, Qui peut voir, qui peut vivre.
Peux de mots, tant à dire, Son devoir son devenir,
Tant de gens, tant de ville, Autan de lois, tant de mépris.
Tous les hommes, sur cette terre, Pour réussir, en secret sont prêts à tous détruire !

Hoo...

Combien d'enfants, ont déjà combattu,
A moins de quinze ans, ont déjà tout perdu,
L'enfer qu'on leur fait voir, nombreux en sont convaincus
Qu'il reste peu d'espoir, au paradis perdu...

Si le monde des affaires, ne faisais plus la guerre, Peut être que l'argent, irait a nos enfants...
Mutilés à la guerre pour défendre ses terres , Désarmés de jouets, mais armés de vrai,
Lancé à la bataille, face à de vrais soldats, Qui sont plus entrainé, qui sont plus équipés,
Ils ont de beaux quartiers, d'où ils lancent leurs bombes, Ne te laisse pas de choix puisqu'elles n'en font pas.

Combien attendent, et ne seront jamais vu,
Les portes où les anges, les ont retenus,
L'enfer s'est le pouvoir, de t'envoyer a la rue,
Dans le paysage, du paradis perdu...

Le monde des grands, un monde perdu... perverti par l'argent,
Où les vices et la drogue, arrosés d'alcool provoque la violence, en créer la dépendance.
Surtout ne regarde pas, car même si tu ne fais rien, par le fait de savoir, tu souillras tes mains.
Garde ton pouvoir de changer le destin, tu penseras subsister,
Garde ton pouvoir de changer le destin, tu survivras demain.

Combien attendent, et ne seront jamais vu,
Les portes ou les anges, les ont retenus,
L'enfer a le pouvoir, de t'envoyer au combat
Et faire sont devoir, au paradis perdu...

Nous, n'avons qu'une terre, une vie et une seul
Pourquoi vivre un enfer constamment en deuil
Tu pensera exister, mais très vite oublié, tu finira en un titre, qui te resummera, que personne ne lira
Tu vas t’ôter les tripes alors que demain sortirons les grands titre ou des politicien se feront des poignées de mains... avec le sourire.

Mais comme notre père, il n'y a qu'une seul terre, il n'y aura qu'une seul vie.
Pourquoi toujours attendre trop tard, vivre n'a pas de prix.

Trop de larmes, trop de peines,
Trop d'histoires, trop de problèmes...

Combien entendent le rugissement de nos rue, la jungle s'étant,
Tous les hommes sur cette terre retourneront en enfer.
Non, non, réveillez moi.

by Ben Calderon.