Iron de Zero - Art Brut
текст песни

Des éclats de pierre taillée volent je sculpte mon art brut à la bombe explosion de murs culte de l'hécatombe de
« Wak » de « Toys » tous les B Boys murmurent « Bring the noise » j' me positionne Pschitt « this is poison » aérosols-sol missiles les pigments qu'ils distillent brillent et perdent celui qui y vacille dans leurs formes fébriles La brûlure sur la ville impure griffe les murs le Tag est l'erafflure le Graph la blessure grave voir la gravure seule bavure celle de salive qui coule le long des bouches de ceux qui arrivent et écrivent leurs blase d'une touche d'un trait ça me touche de prés le « Old Time » garde son attrait son histoire sacrée s'est écrite en secret.
J'en recrée l'atmosphère sismique les ondes de choc tectoniques
Les mouvements de panique
Les flics sautant les murs de briques; les comas éthyliques la Comatec le clic des menottes j'ai pris mes claques pour la clique sans jamais lâcher les potes.
à tous les Boyz.B
« in da place to be »
cu mouvement amphibie roulant dans les flots urbains à ceux dont j'ai partagé le bain d'un baptême solennel
cu désordre informel
cu mouvement perpétuel
Graphique et textuel
Graphique et textuel plus que jamais actuel ma force est celle de tes putains de ruelles
PcRIS ta source ne sera jamais tarie des animaux courent dans tes rues Safari
Chasse en savane les traces laissées condamnent ceux qui passent et qui posent leur blase comme des équiymoses le crew est inorganisé mais électrisé le courant passe par les esprits grisés Y ata a yoyo le sky coule à flots passe le tord boyaux l'alcool est ce son dit stylé, distillé par les mauvais garçons bu sans façon 12 ans d'âge garanti sans contre-façon le 12 s'engage à le servir façon façon 1-2 mon CBc mob son job distribuer l'son autour du globe
Oculaire de ton 3ème oeil ouvert dont je franchis le seuil vers ton cerveau que je cueille, t'en portais déjà le deuil vu ce que tu kiffes je te le décape façon Cif ammoniacal là où je passe je raye pas mais baise plus de neurones que le Mescal calme et mesquin je lâche mon Napalm j'esquinte plus ta matière grise que de l'absinthe.
Juillet 1998 en fuite perpétuelle en un long cri la Krylon crache sa gestuelle
Les traces infra-rouges laissées dans l'air danse les particules de gaz bougent dans tous les sens et bouchent l'horizon sale de l'impasse seuls les regards aiguisés percent le nuage malfaisant office de herse qui s'abat quand Babylone fait son black Sabbath
Les lèvres se gercent à incanter des dieux que je combat par mon art brut glisse
Sur les pentes abruptes de la rupture urbaine, j'lutte en pure peine mais pas en pure perte j'fait de mon mieux certes, j'prends la ville inerte comme une femme à mon art offerte à laquelle j'redonne vie dans un spray de laque satinée
Exprès j'plaque c'est inné mon tag hérité du teenage I.R.O.N
Les murs j'assiège réapparaîs dans des souvenirs qui se désagrègent
Où j'passe comme un fantôme.....

Juillet 1998 en fuite perpétuelle en un long cri la Krylon crache sa gestuelle
Le doigt sur le Cap écrasé libère les pigments
Je rape mon phrasé se libère en fragments, en segments reliant le peintre au MC
Fresque sonore ou visuelle, métaphore ou rituel, Essors Mutuels, aurores de la rue et des terrains On enterre un palais dès qu'on en perd un
cinsi dans le spray, l'esprit s'exprime
Si seul le crime paie, seul le sexe prime
Je m'escrime avec des mots
Lui des teintes et des caps mais le cap est le même les contraintes idem
Les maux identiques M.c.U.X
Elle m'a eu cette rythmique sur laquelle je fixe
La quintessence de mon art, l'effervescence de son art Font que le Hip Hop a pris naissance chez les zonards Zone-crt