Giovanni - Murakami
текст песни

cvec l'âge, j'me rends compte n'être qu'un gosse parmi tant
Qui poursuit ses rêves en taffant à côté à mi-temps
Ma routine est lassante mais j'envie personne/
à part ceux qui ont percé et dont la musique persiste
Du mal à décrocher de mon mac Yosemite
Car j'me sens lassé de la réalité et de ses limites
Le corps glacé sous ma veste matelassée
J'attends un signe sur un banc assis et j'tire une taffe en matant la Seine
Dans 1 h il sera minuit donc j'remonte l'avenue
Les yeux plissés à cause des phares des voitures allumés
J'baisse les yeux en passant devant ce clochard aux habits tachés
Comme devant le regard d'Itachi
Même en étant diplômés, les jeunes font qu'alterner les métiers
En fantasmant leur vie comme Walter Mitty
J'm'isole, ferme ce message à peine lu
Grandir sans le vouloir comme Sangoku devant la pleine lune

Encore l'esprit ailleurs
Perdu dans le monde à Murakami
Tellement d'illusions, mon moral s'abîme
Quand les rues se vident dans la nuit
J'déambule encore l'esprit ailleurs
Perdu dans le monde à Murakami
Tellement d'illusions, mon moral s'abîme
Quand les rues se vident dans la nuit

J'marche dans un décor qui chaque jour m'attriste
Sans trouver ma place au sein de la matrice
Ici tous les bruits de la ville m'agressent
Les yeux dans le vide, j'm'éloigne de mon adresse
J'marche dans un décor qui chaque jour m'attriste
Sans trouver ma place au sein de la matrice
Ici tous les bruits de la ville m'agressent
Les yeux dans le vide, j'm'éloigne de mon adresse

Jeunes mais déjà nostalgiques
De ses bons moments passés qu'on n'a pas su assez apprécier
Conscient que mes darons sont des modèles
Quand je vois toutes ces familles modernes déjà brisées
Il est bientôt 1h et la lumière lunaire
Projette sur un mur l'ombre de mon corps ensuqué
On écrit des nuits entières
Espérant que notre souvenir ne s'éteigne jamais comme les flammes de Sasuke
Paris reste une ville étrangère à mes yeux
clors que j'y habite depuis 3 ans déjà
Des femmes veulent aguicher des passants qui ne s'arrêtent pas
Sous des enseignes illisibles car des lettres sont en panne
Pourquoi le temps s'accélère-t-il à chaque bon moment ?
J'me plains mais j'changerai ma routine pour rien au monde
J'déprime, mon seul désir reste de fuir d'ici
De m'isoler du monde comme Obi-Wan
On s'éloigne de ses parents peu à peu s'en même s'en rendre compte
à leurs yeux on restera des enfants
Nos souvenirs s'effacent, nos vies n'ont rien d'intéressantes
On vit les mêmes soirées sans fin

Encore l'esprit ailleurs
Perdu dans le monde à Murakami
Tellement d'illusions, mon moral s'abîme
Quand les rues se vident dans la nuit
J'déambule encore l'esprit ailleurs
Perdu dans le monde à Murakami
Tellement d'illusions, mon moral s'abîme
Quand les rues se vident dans la nuit

J'marche dans un décor qui chaque jour m'attriste
Sans trouver ma place au sein de la matrice
Ici tous les bruits de la ville m'agressent
Les yeux dans le vide, j'm'éloigne de mon adresse
J'marche dans un décor qui chaque jour m'attriste
Sans trouver ma place au sein de la matrice
Ici tous les bruits de la ville m'agressent

Encore l'esprit ailleurs
Perdu dans le monde à Murakami
Tellement d'illusions, mon moral s'abîme
Quand les rues se vident dans la nuit
J'déambule encore l'esprit ailleurs
Perdu dans le monde à Murakami
Tellement d'illusions, mon moral s'abîme
Quand les rues se vident dans la nuit