Julien LOko - Novembre
текст песни

Tant d'choses infâmes,
Nos yeux se ferment.
Peut être pas pour fuir,
Mais pour sécher nos larmes.
Ils veulent qu'on s'arme,
Que ça nous concerne
Pour tout détruire et pour
Sonner l'alarme.
Et si c'est ainsi,
Serait-ce un signe
Pour qui veut s'unir?
Entends ces dires,
Les mots s'enflamment,
Les murmures se déchaînent
Juste après l'étincelle.
C'est trop facile
D'habiller la peur,
D'oublier sa couleur.

Viens, combien
Se lèveront ce matin?
Pour qui cet amour est le mien?
Marche, marche,
Chaque jour qui revient
Unissons l'amour à demain.

Leurs mains s'embrasent,
Nos nuits se taisent,
Quand nos cœurs s'embrassent,
Poésie entre parenthèses.
Ou les saisons s'acharnent, ou
Le sort s'en mêle,
Le charme joue du mal
Et l'aigle bat de l'aile.
Et si c'est ainsi,
Serait-ce un signe
Pour qui veut s'unir?
Entends ces cris,
Les murs s'enflamment,
Les sirènes s'égosillent,
Elles chantent l'espoir fragile.
L'espoir fragile...
L'espoir fragile.
..
Viens, combien
Se lèveront ce matin?
Pour qui cet amour est le mien?
Et marche, marche,
Chaque jour te revient
Unissons l'amour à demain.
Unissons l'amour à demain.
Unissons l'amour...
Et demain.